Bla bla bla bla bla bla… T’as vu ce qu’elles ont dit Gisèle et Lucienne ? Bla bla bla bla bla bla… Oui, de vraies cochonnes… Bla bla bla bla bla bla… D’authentiques folles de la queue ! Bla bla bla bla bla bla… Bon, c’est pas tout ça, mais il faut qu’on arrête de blablater parce que certaines personnes se lassent de nos bavardages… et de tes aboiements…

-          Non, Maîtresse, je Vous en supplie ! Restez ! Régalez-moi encore de Votre divine poitrine ! N’avez-vous donc aucune considération pour mon sexe qui Vous implore, qui Vous dévore de son regard de cyclope !

-          De la considération ? Tu m’en diras tant ! (Se penchant vers le sexe de son esclave) Sale petit morveux ! Cesse donc de pleurnicher ! Ta larme séminale ne suffirait même pas à recouvrir un seul de mes tétons !

-          Mais Vos tétons sont si gros, Maîtresse, qu’il me faudrait le renfort de Vos mains pour extraire ce liquide si précieux qui, tel un élixir de jouvence, redonne un sourire sans rides ni faux plis à la moindre parcelle de Votre corps…

-          (Une gifle suivie d’un sourire sadique) Mes mains sont faites pour te frapper, pas pour te branler, sale cabot ! Mais si tel est ton désir, ce soir, tu me confectionneras une robe de sperme ! Pas une mini-jupe de catin, mais une robe de soirée comme pour un grand soir de gala… Pour cela, tu auras sans doute besoin de « petites mains » autres que les miennes…

-          Ô Maîtresse, je suis Votre humble serviteur. Laissez-moi Vous vénérer pour Votre grande générosité. (Baisant les pieds de sa maîtresse et levant les yeux vers elle) Grâce à mon sperme, vous resplendirez de mille feux et serez la plus belle étoile que l’univers ait jamais portée. Et vous pourrez alors concourir avec les 1361 canards que j’ai englués lors de ma dernière copulation en pleine nature avec la hermosa señorita Félina.

-          Justement, c’est bien à elle que je pensais lorsque j’évoquais les « petites mains », mais aussi à Paquita et à Ursula qui mouillent leurs culottes à la seule évocation de ta soumission envers moi. Il faut bien avouer que grâce à toi, ma réputation de maîtresse-chienne n’est plus à faire dans notre club de Fallope…

-          … Mais Vous zozotez, Maîtresse ! Serait-ce parce que je Vous lèche les pieds ?

-          (Un coup de martinet s’abat sur la croupe de l’esclave) Bougre d’impertinent !!! Que crois-tu ? Que deux malheureuses gouttes de ta bave suffisent à faire saliver ma chatte et à faire fourcher ma langue ?... Misérable inculte ! Pauvre chien sans territoire, juste bon à juter partout pour avoir de la mémoire ! Si tu continues ainsi, je ferai comme mes amies du club de Fallope : je te remplacerai par un éléphant dont la trompe à elle seule est un émerveillement. C’est ça que tu veux ? Devenir clochard ?

-          (Embrassant fougueusement les jambes de sa maîtresse) J’implore Votre pardon, Maîtresse ! A Vos pieds je veux me prosterner, à Votre chatte je veux m’abreuver, et sur Votre corps je veux me libérer pour Vous souiller et Vous voir scintiller.

-          Voilà qui est bien parlé ! Appelle tes branleuses et rejoins-moi avec elles dans le petit cabinet ! Ma robe de sperme doit être cousue dès ce soir !

-          Maîtresse, je suis Votre esclave dévoué, et je Vous promets la plus belle robe que Vous ayez jamais portée.

Fé…blesse dominatrice