Lundi 15 février 1 15 /02 /Fév 02:11

Mon chasseur et moi prenons plaisir à nous raconter nos fantasmes.

Lettre de mon chasseur pervers :

NUIT DE SEXE

Je suis encore abandonné ce soir...
Pas même une mamelle à me mettre en bouche....
Je vais donc devoir fantasmer seul dans mon coin car ma Fé va être prise ailleurs....
Fort heureusement, j'ai en mémoire les éléments nécessaires pour me concocter une histoire bien crue à défaut d'un bon programme télé...

Ma Fé a une belle poitrine aux tétons aussi bons que des bonbons... (ça commence bien, voilà que j'ai faim de ses seins !!!)
J'imagine une rencontre dans un endroit discret et sombre où seules nos silhouettes sont discernables. Je sais que tu es là, devant moi, attendant que je m'avance pour te prendre dans mes bras...
Je devine à ta respiration que ton envie grandit rapidement. Sans attendre plus longtemps je t'enserre... Je sens ton opulente poitrine plaquée contre
 
mon buste, ce qui m'excite et fait durcir ma queue... Je malaxe tes fesses tout en poussant ton bassin vers le mien, ce qui ne manque pas de te stimuler...
Sans attendre, tu me prends par le cou et enserres ma taille avec tes jambes, puis tu commences à bouger du bassin...
Ma queue est maintenant aussi dure qu'elle pourrait l'être en telle occasion !!

En te penchant en arrière, tu m'offres ton buste affublé de ta somptueuse poitrine...
Ma bouche vient chercher ton téton, que je lèche comme un chat boirait son lait...
Puis je me décide à téter, comme un enfant affamé... Mes dents te causent parfois de petites douleurs entremêlées de doux moments de plaisir...
Je sens ton lait venir sur ma langue et je passe ainsi d'un sein à l'autre...
Ta chatte frottant contre ma bite et tes tétons aspirés et malaxés dans ma bouche... Ta respiration devient plus sourde...
J'ai tellement faim de tes mamelles que je commence à les mordiller, doucement, tout en recueillant ton lait dans ma bouche...
Tu décroches quelques cris, tu hoquettes parfois tant ta respiration devient irrégulière…

Ne supportant plus d'avoir cette trique entre tes jambes, tu te décides enfin à descendre plus bas, vers mon sexe...
Il est tendu, raide, comme amidonné... Tu veux y
goûter
... Tu l'engloutis jusqu'à la limite...
Mes boules entre tes mains... Tu évalues leur grosseur, les malaxes comme de la pâte à modeler...
Ta bouche est chaude et humide... Je sens la profondeur de ta gorge, ta langue qui caresse ma queue...
Tu n'oublies pas ce que j'ai fait à tes tétons. Tu décides alors de manger mes couilles et ma bite... C'est à la fois douloureux et divin de sentir ta morsure...
Comme pour être en communion avec moi, tu pinces tes tétons pour en faire sortir le lait qui goutte sur le sol...
Puis étalée par terre, je fais glisser mon membre jusqu'au fond de ta gorge tandis que, de mes mains, je torture tes seins...

Ta chatte est trempée, une flaque sur le sol brille dans la nuit...
Je commence à titiller ton clito, puis en 69, je m'occupe de ta chatte...
Ta mouille coule abondamment, je ne m'attarde pas sur les saveurs que tu m'offres...
Je commence à introduire un doigt dans ton vagin si trempé qu'il rentre en glissant tout seul. J’ose alors deux doigts qui te massent délicatement, puis en accélérant.
Tes yeux brillent de plaisir et tu lâches un petit rire suivi d'un gémissement qui en dit long. Je comprends que tu recherches plus de sensations. Un troisième doigt vient s'ajouter à ses frères. Tu lâches un "Aahhh" dont je ne saurais dire s'il exprime la douleur ou le contentement.

Tandis que tu exprimes ta satisfaction par des onomatopées, j'introduis un doigt dans ton cul, ce qui te surprend au début car tu lâches un "ohh" de protestation.
Je regarde tes yeux qui brillent de plus belle. Je n'ai nul besoin de ma salive, ta mouille suffit à lubrifier mon instrument.
Je me rends à peine compte que je suis prêt à exploser de jouissance. Cependant, je ne veux pas en rester là. Un deuxième doigt tout autant lubrifié va et vient dans ton cul, tous comme les trois autres dans ta chatte. Cette double pénétration de fortune commence à te déchirer les orifices. Fort heureusement, avec l'excitation, ta chatte devient plus accueillante. Je te regarde bien dans les yeux tout en usant de mon quatrième doigt qui peine un peu à rentrer, mais ça y est, tout y est !!!
Ton excitation est à son comble. Du lait s'échappe de tes tétons sans que tu aies besoin de les presser.
Soudain, je me retire de ta bouche chaleureuse car le jet de sperme n'était pas loin...

Ma bouche vient soulager tes mamelles douloureuses tandis que je continue à forcer le passage de tes orifices. Ta bouche libérée, j'entends tes halètements et tes râles.
Tes ondulations du bassin deviennent incontrôlables, à tel point que je ne peux plus te lécher les seins et te doigter en même temps.
Il est temps que ma queue franchisse elle aussi le passage de ta chatte en chaleur. Elle entre sans difficulté dans le passage élargi par mes doigts, et je commence à aller et venir tandis que tu gémis de plus belle.
A ma grande surprise, je te vois sortir de je ne sais où un vibro de taille standard que prestement tu enfournes dans ton cul... Tu pousses encore un grand "ooohhhh", l'objet à peine introduit. Je peux sentir les vibrations de ce deuxième sexe qui est en toi tandis que ton bassin est en perdition alors qu'il s'agite dans tous les sens.
Je n'en peux plus, je vais tout lâcher...
Tandis que ta jouissance t'envahit, j'ai à peine le temps de te présenter mon sexe...
Encore frissonnante, tu l'engloutis pour en recueillir le suc... Après quelques va-et-vient, mon liquide se répand dans ta bouche bien chaude, ce qui amplifie mon plaisir. Tu avales mon foutre avec appétit et espères même en avoir encore plus en me branlant de plus belle...
Je m'aperçois que ton souffle est toujours sous l'emprise de ton plaisir...
Ma Fé, petite coquine...qui me sourit... Tu as gardé le vibro en toi, dans ton cul. Je m'amuse alors à le pousser, à le retirer, ce qui t'arrache quelques "huummm"...
Je suis tellement excité que mes doigts retrouvent leur chatte adorée tandis que je t'offre à nouveau ma queue qui, bien que dégonflée, a gardé une certaine raideur..
Cette nuit, je veux sentir ton corps, t'entendre respirer, gémir...
Quand j'en aurai fini avec tes orifices, j'aurai faim de ton lait, de tes mamelles...
Je regarde tes yeux qui brillent dans la nuit et je t'entends rire de contentement...

Tu vois, ton absence ne m'empêche pas de jouer de mon imagination..
J’y ai employé les mots crus - comme tu les aimes...

Réponse à mon chasseur pervers :

NUIT DE SEXE BIS

Dis donc, monsieur le chasseur, tu n'es qu'un pervers patenté ! Mais je t'ai vu venir sur la pointe des pieds, l'oreille aux aguets, la bite en avant, et les couilles gonflées à bloc !!! Un vrai chasseur, en somme...

Pourquoi m'as-tu écrit cette "nuit de sexe"? Pour me faire mouiller? Pour perturber mon sommeil? Torturer mes nuits? M'inciter à me branler comme une femelle en chaleur??? Eh bien, c'est réussi !!! Putain, c'est pas possible d'écrire des trucs pareils ! C'est pas humain !!!

Tu veux me faire interner dans le QHS de l'hôpital de ma ville dans la section psychiatrique réservée aux nymphomanes ou quoi???

J'imagine déjà la une des journaux : "Melle X, 40 ans, secrétaire-comptable investie dans son métier, et très appréciée de son patron, a été internée en psychiatrie, sur sa propre demande. Lire la suite à la page 69"


Page 69 : "Alors que Mademoiselle X exerçait son métier avec une grande rigueur, la nouvelle, brute, indéniable, insoupçonnable est tombée : Melle X était inscrite sur un site libertin sous le pseudonyme de Félicia et nourrissait une correspondance journalière avec un certain Jimmy, grand chasseur pervers connu sur la place et oeuvrant courageusement pour la défense des bêtes à poils...

Leur correspondance était digne des plus grands auteurs du genre : Sade, Pierre Louÿs ou Apollinaire et ses "Onze mille verges".

Notre correspondant infiltré dans la section psychiatrique réservée aux nymphomanes a réussi à obtenir cette interview exclusive de Melle X, plus connue sous le pseudo de "Fé" :

- Melle Fé, expliquez à nos lecteurs la raison de votre présence ici.

- Eh bien, tout a commencé par une histoire d'animaux (lapin, taureau, tigre, chat) et une comparaison très fantaisiste entre les couilles de lapin et les couilles de taureau accrochées aux barreaux d'un lit...

Au début, je n'ai pas tout compris, mais j'ai tout de suite aimé le ton cru et personnalisé employé par Jimmy. Alors qu'il me parlait de ses couilles, je lui parlais de mes seins aux tétons extrêmement sensibles.

- Vos tétons ont, paraît-il, une particularité.

- Oui, c'est vrai qu'ils produisent du lait, et c'est cela qui a fait monter d'un cran l'excitation de mon chasseur. Je ne pouvais donc rester insensible face à son désir de traire mes mamelles pour en extraire tout le lait dont il est particulièrement avide...

- Que lui avez-vous promis en échange?

- Je ne lui ai rien promis ! Tout n'a été que suggestions et fantasmes. Dans nos fantasmes les plus fous, je lui léchais les couilles et avalais son foutre sans ciller.

- Et quoi d'autre?

- Dans un de ses mails, il n'a cessé de tester mes orifices pour bien les dilater afin de mieux le recevoir.

- Quel genre de test?

- D'abord, avec sa langue, il me titillait le clitoris pour que je sois bien mouillée, puis, lorsque j'étais bien lubrifiée, il plongeait ses doigts dans ma chatte et dans mon cul.

- Combien de doigts?

- Il m'en a mis 4 dans la chatte, sans même que ça me fasse mal. J'ai cru qu'il allait me fister, mais il a dû penser que je n'étais pas prête...

- L'étiez-vous?

- Je ne sais pas, mais je n'ai rien contre les nouvelles expériences...

- Bon, vous dites qu'il vous a mis 4 doigts dans la chatte. Et votre cul? S'en est-il occupé?

- Oh, ça oui ! Il y a mis 2 doigts et un gode vibrant.

- Quel effet cela a-t-il produit sur votre libido?

- C'était tellement bon que mon lait coulait spontanément de mes seins.

- Qu'a-t-il fait pour y remédier?

- Il n'a cessé de le boire en me disant qu'il aimait mon lait de femelle en chaleur, et qu'il avait meilleur goût quand je jouissais comme ça, de la chatte et du cul.

- Et l'avez-vous cru?

- Je n'avais aucune raison de ne pas le croire ! J'avais déjà lu quelques articles à ce sujet et, de plus, au fil de mes expériences avec les hommes, j'avais constaté aussi que plus ils étaient excités, plus leur semence était délicieusement sucrée sur mon palais.

- Ensuite, vous a-t-il pénétrée?

- Je coulais tellement et je jouissais tellement que je ne savais plus ce que je faisais ou ce qu'il me faisait. Et, d'un coup, j'ai senti sa queue bien bandée qui me défonçait vigoureusement la chatte. Ses couilles tapaient contre mes fesses, et les poils de ses couilles me caressaient en même temps.

- Avait-il déjà éjaculé?

- Non, pas encore, mais comme je connaissais déjà le goût de son foutre et qu'il était excité comme un diable, il continuait à me pilonner avec force en me disant qu'il finirait encore une fois dans ma bouche parce que j'avais l'air d'aimer ça.

- Disait-il vrai?

- Oh oui ! Il me connaît bien, vous savez ! Il sait que j'aime avaler sa semence, et il sait aussi que j'aime m'endormir dans ses bras pendant qu'il me tète, par exemple...

- Il avait probablement les couilles bien pleines...

- C'est le moins qu'on puisse dire ! Après m'avoir labourée à fond, tout à coup, il s'est retiré de ma chatte et m'a présenté sa queue sur le point d'exploser. Alors, je l'ai gobée instinctivement tout en malaxant ses grosses boules. Et là, il m'en a envoyé une giclée extraordinaire en me demandant de tout avaler puisque j'aimais ça. Son foutre, onctueux et bien sucré n'a cessé de couler dans ma gorge. Et même lorsqu'il avait terminé de dégorger, je continuais à presser son sac de couilles pour recueillir les moindres gouttes restantes. Après quoi, la pression est retombée, et il s'est mis à me téter les seins tout doucement.

- Et alors, Melle Fé, pouvez-vous nous expliquer la raison de votre internement aujourd'hui?

- Oui, bien sûr ! C'est très simple ! Comme je vous l'ai dit, tout cela n'est que fantasme mais, à la lecture du dernier mail de mon chasseur, les détails étaient si précis et si justes que je n'ai cessé de caresser mon clitoris, d'introduire des objets dans ma chatte et dans mon petit trou, de pincer mes tétons et de les tirailler en tous sens que j'ai fini par perdre le sens de la mesure. J'étais si excitée que j'en avais mal aux doigts qui me branlaient depuis des heures. A la fin, lorsque je me suis mise à jouir, j'ai hurlé si fort que mon voisin a sonné à la porte et, lorsqu'il a vu dans quel état j'étais, avec un concombre dans une main et un plug dans le cul, il n'a pas hésité à me prendre à même le carrelage et à me traiter de salope et de nymphomane tout en me baisant. J'ai joui encore sous ses coups de bite et, lorsque je me suis réveillée quelques heures plus tard et ai pris conscience de mon état, j'ai pensé qu'il valait mieux que je me fasse aider par la médecine pour ne pas subir les assauts de tous mes voisins... Vous comprenez?

- Oui, bien sûr. Vos voisins doivent déjà vous regretter, Melle Fé... Et avez-vous eu des nouvelles de Jimmy?

- Oui. Chaque soir, il m'écrit un mail avec tous ses fantasmes et, le lendemain, il vient me rendre visite après son travail pour que nous les mettions à exécution. Juste après son départ, je prends un médicament pour équilibrer ma libido.

- Merci pour votre témoignage.

Estampe 1

Par Les dialogues hard de Félicia.erog.fr
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